Interview d'un Barjot par Archibald LaFleur III
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Interview d'un Barjot par Archibald LaFleur III
Bonjour Mr Black&Decker. Je peux vous appeler Black !!?
Le gobelin quitte sa tronçonneuse dégoulinante de sang frais des yeux et lève un regard inquiétant vers le journaliste.
Nooooonnn… appelez-moi Mr Black&Decker… dit le gobelin d’une voix lugubre.
Euh… bon d’accord … Mr Black&Decker … quel est le secret pour faire un bon barjot… !!?
Le gobelin reporte son regard vers son instrument de travail.
Ne faire qu’un avec votre compagne… l’amour de la découpe… c’est tout un art de trancher dans le vif du sujet. Vous ne tranchez pas dans un skaven comme dans un nain. Les parties tendres sont situées à différents endroits.
Une étincelle de folie dans son regard s’ajoute au brasier qui enflamme son âme d’artiste.
Hum oui et… qu’est-ce donc que tous ces morceaux de corps sur l’étagère derrière vous.
On sent, dans la voix du journaliste, tout son malaise devant l’étalage de la chaire embaumé.
AAAAAAAaahhh Ca !!! Ce sont mes souvenirs de mes matches en amateur. Je gardais toujours un souvenir de mes adversaires.
Là cette main, elle appartenait à un jeune prodige humain… il ne ratait jamais une passe… il était suivi par tous les recruteurs des ligues professionnelles… mais il était un peu hautain, on lui avait conseillé de ne pas jouer contre moi. Il élève des cochons dans une ferme maintenant… hihihi…
Le rire sadique du gobelin résonne dans la pièce.
Pourquoi être passé professionnel !!?
Je voulais que mon art touche plus de monde… Plus les spectateurs m’adulent, plus je veux leur donner du spectacle… Je dois arrêter là l’interview. Je dois aller nourrir Nella, elle a faim.
Nella c’est votre squig !!? demanda le journaliste soulagé de quitter cet endroit.
Le gobelin s’était levé et se dirigeait vers une porte au fond de la pièce. Il se retourna, un sourire des plus machiavéliques sur ses lèvres.
Non, c’est ma compagne. Montrant sa tronçonneuse.
En quittant la pièce, le journaliste entendit le bruit du moteur qui démarrait mais aussi le cri de ce qui pouvait ressembler à de l’elfique.
Trouvant le métier de journaliste sportif trop dangereux, il demanda à devenir reporter de guerre... ca lui semblait moins dangereux.
Le gobelin quitte sa tronçonneuse dégoulinante de sang frais des yeux et lève un regard inquiétant vers le journaliste.
Nooooonnn… appelez-moi Mr Black&Decker… dit le gobelin d’une voix lugubre.
Euh… bon d’accord … Mr Black&Decker … quel est le secret pour faire un bon barjot… !!?
Le gobelin reporte son regard vers son instrument de travail.
Ne faire qu’un avec votre compagne… l’amour de la découpe… c’est tout un art de trancher dans le vif du sujet. Vous ne tranchez pas dans un skaven comme dans un nain. Les parties tendres sont situées à différents endroits.
Une étincelle de folie dans son regard s’ajoute au brasier qui enflamme son âme d’artiste.
Hum oui et… qu’est-ce donc que tous ces morceaux de corps sur l’étagère derrière vous.
On sent, dans la voix du journaliste, tout son malaise devant l’étalage de la chaire embaumé.
AAAAAAAaahhh Ca !!! Ce sont mes souvenirs de mes matches en amateur. Je gardais toujours un souvenir de mes adversaires.
Là cette main, elle appartenait à un jeune prodige humain… il ne ratait jamais une passe… il était suivi par tous les recruteurs des ligues professionnelles… mais il était un peu hautain, on lui avait conseillé de ne pas jouer contre moi. Il élève des cochons dans une ferme maintenant… hihihi…
Le rire sadique du gobelin résonne dans la pièce.
Pourquoi être passé professionnel !!?
Je voulais que mon art touche plus de monde… Plus les spectateurs m’adulent, plus je veux leur donner du spectacle… Je dois arrêter là l’interview. Je dois aller nourrir Nella, elle a faim.
Nella c’est votre squig !!? demanda le journaliste soulagé de quitter cet endroit.
Le gobelin s’était levé et se dirigeait vers une porte au fond de la pièce. Il se retourna, un sourire des plus machiavéliques sur ses lèvres.
Non, c’est ma compagne. Montrant sa tronçonneuse.
En quittant la pièce, le journaliste entendit le bruit du moteur qui démarrait mais aussi le cri de ce qui pouvait ressembler à de l’elfique.
Trouvant le métier de journaliste sportif trop dangereux, il demanda à devenir reporter de guerre... ca lui semblait moins dangereux.
Horiuk- Journaliste
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Date d'inscription : 07/09/2009
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